Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Les réseaux sociaux dans l'entreprise

20 décembre 2007

Interdire les réseaux sociaux en entreprise est une mauvaise idée

Impossible d'y échapper, les réseaux sociaux sont partout, même en entreprise. Les ressources humaines et les directions voient souvent cette prolifération d'un mauvais oeil. Une étude publiée par TUC déculpabilise pourtant les salariés qui s'octroient une petite escapade sur MySpace, Bebo et autres Facebook

D'après le Trades Union Congress (TUC), les entreprises qui bannissent totalement les connexions aux réseaux sociaux devraient revoir leur copie. La fédération des syndicats britanniques juge en effet « excessive » l'interdiction complète de ces sites sur le lieu de travail. Vu le battage médiatique grandissant autour de l'utilisation de ces sites, le TUC a donc décidé de publier quelques conseils, destinés à la fois aux employeurs et aux salariés. John Wood, porte-parole du TUC, explique en effet : « dans le passé, les employeurs ont toujours toléré une certaine utilisation du web par leurs salariés, et il n'y a aucune raison que cela change ».

L'étude met en exergue la recrudescence du nombre d'entreprises faisant appel à des outils logiciels sophistiqués pour empêcher l'accès aux réseaux sociaux. Un sondage réalisé par Sophos PLC (spécialisé dans la sécurité) auprès de 600 personnes révèle par exemple que 43% d'entre elles observent un blocage complet vers Facebook, alors que 7% constatent que seules les demandes d'accès liées à l'activité de l'entreprise sont acceptées. Parmi les 50% restant, 8% des personnes interrogées estiment que si leur entreprise n'a pas encore procédé à ce type de restriction, c'est par crainte des réactions des salariés. La principale peur des entreprises concerne une baisse de productivité des employés, mais aussi la hantise de voir apparaître des informations confidentielles sur Internet.

Mettre en place une politique de « bonne conduite » plutôt que punir

« La simple répression d'une pratique qui est de toute manière destinée à s'amplifier n'est pas la bonne solution », indique Brendan Barber, secrétaire général du TUC. « Il est certes inadmissible que les salariés passent des heures sur ce genre de sites, mais quelques minutes passées à surfer peuvent toutefois s'avérer positives pour l'entreprise elle-même », précise encore TUC. A la place de la répression pure et dure, la fédération encourage les entreprises à mettre en place une politique de bonne conduite « clairement définie, mais ouverte » concernant l'utilisation de tels sites. « Cette étape est cruciale, souligne l'étude, car l'appartenance à un réseau social est en passe de devenir la norme ».

Le TUC est une fédération regroupant 59 syndicats britanniques, qui représentent six millions et demi de salariés.


Source : lemondeinformatique.fr
Edition du 03/09/2007 - par Miléna Nemec-Poncik
http://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-interdire-les-reseaux-sociaux-en-entreprise-est-une-mauvaise-idee-23825.html

Publicité
20 décembre 2007

Réseaux sociaux : le travail collaboratif 2.0

Réseaux sociaux : le travail collaboratif  2.0

Concept éprouvé, les réseaux sociaux s'étendent et se multiplient grâce aux nouvelles technologies. Replaçant l'humain au coeur du savoir, ils pourraient bien être l'avenir du travail collaboratif.                                     
                              
Réseaux d'anciens élèves, associations professionnelles ou culturelles, cercle familial et amical...le concept de réseau social est loin d'être une création du XXIème siècle. Les nouvelles technologies ont malgré tout fortement contribué à ses récentes progressions.

Grâce à elles, les réseaux sociaux ne subissent plus les contraintes de l'espace et du temps. L'univers relationnel des individus a donc tendance à s'élargir, "bien au-delà de l'entreprise, de la famille et des amis. Il a toutefois tendance à effrayer le management des entreprises qui a pourtant intérêt à en tirer profit", souligne Dominique Turcq, fondateur de Boostzone et président de l'Afplane (Association française de stratégie et développement d'entreprise).

                                                      

Une conviction également partagée par Jérôme Delacroix, consultant en management coopératif et fondateur de Coopératique : "les barrières de l'entreprise sont de plus en plus poreuses, notamment du fait de l'élargissement des relations sociales de ses salariés".

Et pas seulement dans leur vie personnelle. Au contraire. Les nouveaux modes de travail y sont pour beaucoup : CDD, consultant indépendant, intérim, etc. A 25-30 ans, un jeune salarié aura connu autant d'entreprises, voire plus, que ses parents en près de 40 ans de carrière. Avec tout le bagage relationnel qui en découle.

Une entreprise qui recrute un nouveau collaborateur l'engage donc avec toute son histoire et son passé relationnel. "Tout l'intérêt pour l'entreprise est d'en faire une force en l'utilisant plutôt qu'une faiblesse, craignant de ne pas pouvoir la contrôler", commente Jérôme Delacroix.

"Le risque de fuite d'informations est bien plus important si les salariés ne sentent pas que la direction leur fait confiance. Dans le cas contraire, ils chercheront à récupérer de l'information de l'extérieur utile pour leur job et donc pour l'entreprise", poursuit-il.

"Dans un réseau d'entreprise, on ne cherche plus à savoir où est l'information,  mais qui la détient "
(J.Delacroix - Coopératique)
                  
Même confiné en interne, le réseau social apporte aussi son lot de craintes. "Pourtant, il existait déjà autour de la machine à café ou de la photocopieuse. C'est sa formalisation qui effraie", sourit Dominique Turcq.

Il remet en effet en question la hiérarchie pyramidale de l'entreprise, faisant perdre en partie au management son emprise sur ses équipes. Mais dans un climat de confiance, il apporte aussi beaucoup, puisque les équipes sont alors capables d'échanger et de communiquer autour de l'objectif commun de l'entreprise.

Et surtout, l'individu retrouve sa place de détenteur du savoir dans l'entreprise. "Dans un réseau coopératif d'entreprise, on ne cherche plus à savoir où est l'information (dans un entrepôt de données par exemple) mais qui détient l'information, poursuit le fondateur de Coopératique. On ne parle alors plus de bases de connaissances mais de vivier de compétences", déclare Jérôme Delacroix.

C'est aussi l'avis du président de l'Afplane : "On crée une sorte d'annuaire intelligent dans l'entreprise, qui contient non pas tous les savoirs des collaborateurs, mais seulement la 'table des matières' de leur cerveau". Une démarche beaucoup plus valorisante pour les salariés et humanisante pour l'entreprise.

A cet annuaire, se greffe ensuite tous les outils de travail collaboratif déjà utilisés ou non dans l'entreprise : le téléphone, la messagerie instantanée pour les systèmes synchrones, mais aussi les e-mails, blogs, wikis et autres forums disponibles via

Il ne s'agit donc pas de réinventer la roue. Ni le concept ni les outils ne sont nouveaux. Mais leur rapprochement impose de les formaliser et, sans les contrôler, de les gérer en confiance pour les mettre à profit. Et comme tout projet, une approche progressive à la fois fonctionnelle et technique sera nécessaire pour sa réussite l'intranet pour les solutions asynchrones.

Source : Journal du Net
http://www.journaldunet.com/solutions/0612/061206-reseaux-sociaux-collaboratif.shtml

20 décembre 2007

Les réseaux sociaux au service de l’entreprise

                        L’expression « réseaux sociaux » peut avoir beaucoup de significations. Nous nous intéresserons ici aux sites Internet de mise en relation, librement inspirés de la théorie des six degrés de séparation de Stanley Milgram. Pour rappel, cette théorie énonce que l’on peut toujours relier deux individus A et B pris au hasard par une chaîne d’au plus six personnes (A connaît quelqu’un qui connaît quelqu’un... et ainsi de suite, jusqu’à B). On assiste aujourd’hui à une explosion de l’offre de réseaux sociaux : rien que sur les plates-formes francophones, on trouve près d’une dizaine de sociétés, dont plusieurs spécialisées dans les usages professionnels. Si les premiers utilisateurs de ces réseaux ont rapidement compris l’intérêt qu’ils pouvaient en tirer à titre individuel, les organisations ne sont pas toujours conscientes du potentiel qu’ils représentent pour l’atteinte de leurs objectifs. La maîtrise de ces réseaux pourrait pourtant être demain un avantage compétitif décisif pour les entreprises.

Réseaux sociaux et développement commercial

Les réseaux sociaux peuvent être un outil redoutablement efficace pour les commerciaux. La technique est de repérer un décideur dans l’entreprise cible, grâce au moteur de recherche du site. Ensuite, deux méthodes sont envisageables : directe ou indirecte. L’approche directe consiste à rentrer immédiatement en relation avec l’interlocuteur visé, si toutefois il accepte ce type de prise de contact. L’approche indirecte est possible, quant à elle, s’il existe une chaîne de relations entre le commercial et le contact qu’il cible. Dans ce cas, le site l’indique, soit en précisant la chaîne complète, soit simplement le premier maillon, à savoir une connaissance directe du commercial. Ce dernier peut alors rédiger une offre et la transmettre à son contact direct en lui demandant de bien vouloir la relayer. Le taux de succès est spectaculaire : selon Thierry Lunati, co-fondateur du réseau Viaduc, il atteint 40 % par la voie directe et culmine à 70 % par la voie indirecte ! Ce chiffre record s’explique aisément car la personne qui reçoit une proposition par la voie indirecte la tient nécessairement d’un de ses contacts, en qui elle a confiance. Elle est donc normalement bien disposée à son égard. Pour Christophe Manhes, responsable commercial chez Kit’In et utilisateur de Viaduc, « les réseaux sociaux permettent d’atteindre personnellement les bons interlocuteurs en évitant le passage par des secrétariats ». Pour que la demande ne se perde pas en route, il faut que chaque maillon la transmette. Ainsi, d’après Rob Leathern, Directeur Marketing du réseau LinkedIn, « la probabilité que l’une de vos demandes atteigne son objectif dépend de la confiance qui vous unit à vos contacts, de la confiance qui unit ces derniers aux leurs, et ainsi de suite. » Autrement dit, tous les réseaux ne se valent pas : il convient de sélectionner avec soin les personnes que l’on invite à rejoindre son groupe de contacts directs.

La botte secrète du recrutement...et des autres fonctions

La Direction des Ressources Humaines peut aussi tirer parti des réseaux sociaux pour recruter. Ces réseaux sont en effet ce que Rob Leathern appelle « des viviers de candidats potentiels », à savoir des réservoirs de professionnels ayant décrit précisément leurs expériences, leur formation, avec en prime des témoignages de leurs connaissances explicitant dans quelles circonstances ils ont travaillé ensemble et ce qu’ils ont apprécié. Une mine d’informations bien plus riche que ce que l’on peut trouver par une simple recherche sur le mot « CV » dans Google par exemple ! Par ailleurs, « ces réseaux permettent d’entrer en relation avec des profils très spécifiques, pas nécessairement en recherche d’emploi, mais à l’écoute du marché. C’est une manière non offensive de prendre contact, dans une logique à moyen et long termes », explique Emilie Desodt, responsable RH chez Altima. Mais si le recrutement et les démarches commerciales constituent la part principale des mises en relation, les réseaux sociaux ont d’autres applications pour les entreprises. Selon Alain Lefebvre, créateur du réseau 6nergies, « tous les départements d’une organisation sont concernés : le service commercial et la DRH bien sûr, mais également la R&D, la Production, le Marketing... ». Jean-Christophe Vaussier, Directeur Administratif de la société de formation Act Info Services, nous confie utiliser les réseaux sociaux comme outil de veille : « ils me permettent de collecter des informations, recueillir les sentiments de contacts sur différents sujets, ce qui pourrait déboucher sur des partenariats pour mon entreprise. »

Quelques conseils pour une utilisation efficace

Certaines bonnes pratiques aideront l’entreprise à tirer le meilleur parti de ces réseaux d’un nouveau genre. Pour Thierry Lunati, les premières choses à faire avant d’approcher quelqu’un sont de « bien lire son profil et visiter le site Internet de son entreprise, afin de rédiger un message parfaitement ciblé. La clef d’une mise en relation réussie, c’est vraiment la personnalisation du message. » D’où la nécessité de « bien remplir son profil et être le plus transparent possible sur ce que l’on recherche, mais aussi ce que l’on peut apporter, explique Alain Lefebvre. Ensuite, pour avoir de bonnes chances que vos demandes soient relayées, vous devez apprendre à jouer les intermédiaires pour les demandes des autres, tout en exerçant à bon escient un rôle de filtre. » Quelle est la taille optimale d’un réseau ? « Il n’y a pas de taille idéale, selon Rob Leathern, mais généralement 100 à 200 contacts semble le maximum. L’important est d’être connecté avec des gens à qui vous avez des choses à dire. » Enfin, il faut savoir être patient, comme résume Alain Lefebvre : « le networking social prend du temps et il faut beaucoup semer avant de commencer à récolter... »

Source : Agoravox

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=1328

20 décembre 2007

Synthèse

Thème

 

Les entreprises et les nouveaux réseaux sociaux sur Internet
J’ai choisi d’élaborer mon blog sur ce thème pour plusieurs raisons. Je suis un utilisateur régulier des réseaux sociaux sur Internet. Ils me permettent d’échanger des idées, de partager des centres d’intérêt, de faire des rencontres ou encore de retrouver d’anciens amis. Depuis peu, je me suis rendu compte que ces réseaux sociaux pouvaient avoir un intérêt professionnel. En effet, de nombreux internautes les utilisent pour élargir leur réseau de contacts professionnels et même pour rechercher d’emploi. Afin d’en savoir plus sur ces réseaux sociaux j’ai décidé, dans le cadre du cours de culture informationnelle, de créer ce blog sur le thème suivant : Quels impacts les réseaux sociaux ont sur les entreprises ? Je pense, en effet, qu’il est intéressant d’analyser l’entrée progressive des entreprises dans ces nouveaux terrains virtuels ou la communication prévaut. Ce blog sera l’occasion de m’intéresser de plus près à ce phénomène et permettra peut-être, à l’avenir, de justifier à mes employeurs l’intérêt pour une marque d’intégrer les réseaux sociaux dans leur politique de communication.

Contexte

 

Le web est un vaste espace d’échange et joue un rôle social très important dans notre civilisation actuelle. Depuis quelques années un nouveau phénomène a fait son apparition sur la toile : les réseaux sociaux. Un réseau social est défini par une communauté d'individus reliés entre eux, selon les cas, par : des origines, des centres d'intérêts, des besoins, des points de vue proches ou similaires. L'expression réseau social renvoie, dans un sens plus large, à l'ensemble des interactions mis en place à l'intérieur d'une de ces communautés. Ce phénomène planétaire a envahi notre quotidien. Un grand nombre d’internautes possède un compte sur des sites comme Myspace, Facebook ou encore Second Life. Selon une étude réalisée par Comscore en juin 2007 MySpace aurait eu plus de 114 millions de visiteurs uniques âgés de 15 ans (+ 72 % par comparaison avec juin 2006). Facebook compte 52,1 millions de membres. De plus, 200 000 nouveaux membres rejoignent cette communauté quotidiennement. Le phénomène de réseaux sociaux constitue un phénomène populaire incontestable.
À l’heure ou le web assiste à un nouveau bouleversement planétaire, les entreprises commencent à comprendre qu’elles ont tout intérêt à s’intéresser de plus près à ce nouveau phénomène social. En effet, les réseaux sociaux constituent un nouvel outil de communication que les entreprises commencent à l’intégrer dans leurs stratégies marketing. C’est ainsi que la plate-forme virtuelle Seconde life s’est vue envahir par de nombreuses marques comme Mercedes, Adidas, IBM ou encore Philips. Facebook et Myspace ont eux-mêmes compris qu’il était intéressant de s’ouvrir aux marques en proposant une nouvelle forme de communication : la « publicité comportementale ». Ces deux réseaux sociaux s’appuient sur les informations de leurs utilisateurs qui permettent aux marques d’afficher leurs bannières sur des profils ciblés. Ce système offre donc un meilleur retour sur investissement pour les annonceurs.

19 décembre 2007

Application de Twitter en entreprise

Twitter est un outil de réseau social et de microblogging qui permet à l'utilisateur de signaler à son réseau "ce qu'il est en train de faire". Il est possible d'envoyer et de recevoir ces updates par le web, par messagerie instantanée ou par SMS. On appelle ces updates des Tweets. La particularité des Tweets est qu'ils sont courts, d'une longueur maximale de 140 caractères, ce qui permet de mettre à jour son Twitter de manière brève et spontanée.
Fabien Prêtre nous explique commen cette application peut être utilisée en entreprise.

 

Application de Twitter en entreprise - Oxyneo
envoyé par oxyneo

Publicité
25 octobre 2007

Les marques doivent investir les réseaux sociaux pour toucher les ados

Les réseaux communautaires sur le Web pourraient devenir un support publicitaire efficace pour les marques, à condition de s'y impliquer durablement, estime le cabinet Forrester Research.

 

 

Les sites à caractère communautaire, comme MySpace et Facebook, sont très populaires auprès des adolescents et des jeunes américains. Ils représentent donc pour les marques un énorme potentiel en matière de publicité. Ainsi, près de la moitié des internautes de 12 à 17 ans et plus des deux tiers de ceux âgés de 18 à 21 ans ont déjà un profil sur au moins un de ces réseaux sociaux. Et 60% des adolescents et près de 70% des jeunes adultes se rendent au moins une fois par jour sur ces sites, selon une étude du cabinet d'analyses Forrester Research.

Pourtant, beaucoup des annonceurs utilisent encore des canaux internet "traditionnels" pour faire leur publicité auprès des jeunes: liens sponsorisés menant vers des mini-sites dédiés, publicité contextuelle...

 

Créer une relation plus personnelle avec les internautes

 

 

Forrester estime que cette façon de faire du marketing  n'incite pas les jeunes à se tourner vers ces marques. Le cabinet préconise donc aux annonceurs de créer leur propre profil dans les réseaux communautaires. Les marques profiteraient dans un premier temps d'une meilleure visibilité. Elles pourraient aussi tabler sur le bouche-à-oreille, très populaire auprès des 12-17 ans, pour faire entrer leur profil au sein des listes d' "amis" référencées sur chaque page personnelle. A titre d'exemple, en se créant un profil sur MySpace, le film X-Men2 a recueilli plus de deux millions d'utilisateurs de ce réseau dans sa liste d'amis. Efficace!

 

En outre, les marques peuvent compter sur leur réseau d'amis: les internautes se rendant chaque jour sur un site communautaire font figure de "leaders naturels": s'ils sont séduits par le profil d'une marque, ils n'hésiteront pas à la recommander à tous leurs amis internautes ou à en parler sur leur blog.

 

Des bonus propres à Internet

 

Les jeunes internautes sont également attirés par les petits bonus que les marques peuvent offrir, telles que les réductions et des promotions sur des produits si elles sont régulièrement mises en avant sur le profil. Des contenus exclusifs peuvent aussi attirer leur attention, tels que des wallpaper et des images téléchargeables.

 

Les annonceurs ne doivent pas non plus oublier d'entretenir leur relation avec les utilisateurs des réseaux sociaux en renouvelant régulièrement le contenu de leur profil et en n'hésitant pas à solliciter les visites par l'intermédiaire d'e-mails pour, par exemple, les inviter à des évènements exclusifs. Ainsi, la marque de lingerie américaine Victoria's Secret a proposé à ses "amis" de MySpace et de Facebook de gagner des invitations pour une "PJ Party" (Pyjama Party) exclusive.

 

(Atelier groupe BNP Paribas – 06/07/2007)

 

http://www.atelier.fr/e-marketing/Marques,investissement,reseaux,sociaux,jeunes,internautes-34795-13.html

25 octobre 2007

Démarche de veille

Les mots clés


N’ayant auparavant jamais réalisé  de blog, nous ne connaissions pas la démarche à suivre pour effectuer une recherche pertinente. Alors que notre première idée aurait été de nous précipiter sur des moteurs de recherche et de taper les mots entreprises et réseaux sociaux, M. Pinte nous a conseillé de définir auparavant des mots-clés et surtout de rechercher des synonymes qui pouvaient s’avérer plus pertinent que les mots auxquels nous pensions au premier abord. Pour les synonymes, nous avons utilisé le site du CNRS (http://dico.isc.cnrs.fr/) et le dictionnaire de Caen (http://elsap1.unicaen.fr/cgi-bin/cherches.cgi) qui permettent de trouver des synonymes.

Mots clés choisis :

Réseaux sociaux - Entreprises - PME - Marque - Second Life - Facebook - Myspace - Twitter - Consommateurs - Internautes - Stratégie - Communication - Marketing - Produits - Promotion - Notoriété - Image.



Les moteurs et méta moteurs


Une fois nos mots clé définis, notre recherche pouvait commencer. Notre premier réflexe fut de nous servir des moteurs et méta moteurs que nous connaissions déjà ou que nous avions vu en cours, afin de « dégrossir » le travail :

·         Moteurs de recherche :

-          Google.fr

-          Yahoo.fr

-          MSN.fr

-          www.dogpile.com

-          www.ask.com

-          http://www.metacrawler.com/

-          http://www.exalead.fr/

Les moteurs de recherches sont intéressants car ils proposent une large variété d’article, et nous ont donc permis de débuter notre blog. Toutefois cette importance de données rend difficile la recherche d’infos pointus : ils sont donc à utiliser avec prudence.

·         Les méta-moteurs :

Copernic est le seul méta moteurs que nous ayons utilisé. Il est beaucoup plus intéressant que les moteurs de recherche « classique », puisque les réponses sont généralement plus pertinentes.

Les alertes et newsletters


1.      Les alertes

Certain moteurs de recherche permettent de créer des alertes qui nous indiquent des nouveaux articles sur le thème recherché. Nous avons donc créé plusieurs alertes quotidiennes sur «  Google Alertes », …

Nous avons également utilisé alertinfo via le site lemonde.fr. Alertinfo reste très intéressant car nous avons obtenu quelques informations intéressantes via ce mode de veille sur internet.


2.      Les newsletter

Les newsletter sont également une source d’information régulièrement mise à jour. Nous nous sommes donc abonner à celle du journal du net.


Les encyclopédies


-         Wikipedia.fr

Ce site est également une source d’information, et étant régulièrement mis à jour il nous a permis de vérifier certains points de recherche.


Cartographie


Kartoo.com a été intéressant à utiliser en insérant des mots clés nous avaons pu obtenir les sites proposant le plus d’infos dans ce domaine. Il est fortement intéressant par la représentation cartographique de voir immédiatement quels sites se rapprochent le plus des thèmes d’étude recherchés.


Le référencement


Notre site a été référencé sur deux annuaires :

-          Coté blog

-          Annuaire-blog.fr







25 octobre 2007

Utilisation des réseaux sociaux par l’entreprise : Facebook par delà le bien et le mal

 Si L’Atelier dispose de trois groupes sur Facebook, ce n’est pas pour faire joli, mais aussi pour tester les limites de l’usage des réseaux sociaux en entreprise. Ou plutôt leur absence de limites.

 

Facebook L'Atelier Web
(cliquez pour agrandir)

 

Pour faire entrer l’entreprise dans le domicile de ses collaborateurs, il existait déjà le BlackBerry et les messageries web. Un autre outil, bien plus intrusif, se développe à grande vitesse. C’est un réseau social, et il s’appelle Facebook. Rien de nouveau : de nombreux salariés sont déjà inscrits sur des services en ligne comme Viadeo ou LinkedIn. La différence est que Facebook mélange plus habilement et plus largement vie publique et vie privée. De mon point de vue, c’est l’arme parfaite pour faire participer ses salariés à la culture et au savoir de l’entreprise. Comment ? C’est très simple. Les internautes ont déjà l’habitude de parler d’eux sur des blogs, de se montrer sur flickR ou Youtube.

 

Débuter par les sujets sociétaux

 

Le tout est de rapprocher l’air de rien ces systèmes de fonctions plus professionnelles, afin que ces participations portent aussi sur la vie de l’entreprise. Facebook permet d’habituer un collaborateur à discuter avec ses collègues, en partant de sujets culturels : il participe à des concours (films, musique), a accès à des modules ludiques, répond à des sondages, est incité à décrire les membres de son réseau, à s’inscrire dans des groupes d’intérêts. Un autre avantage est que cela tend à effacer les barrières hiérarchiques, et à estomper les réserves que l’on peut observer sur des wikis ou des blogs d’entreprise. Pour autant, ce n’est pas parfait. Pour une entreprise, la tentation peut être grande d’utiliser à l’excès ces informations privées. On sait où il est parti en vacances - est-il aventureux ? -, dans quels pays il souhaiterait aller - que est son degré de mobilité ?

 

Repérer les talents et conserver les connaissances

 

Certes, l’entreprise peut voir sa structure chahutée par le changement de mode de fonctionnement que le réseau social induit : travail séquencé, prise de parole plus affirmée et hors hiérarchie, langage peu académique. Mais cela lui donnera surtout des moyens sans commune mesure avec ce qui existe dans les services de ressources humaines. Ce, aussi bien pour repérer les talents, que pour conserver la connaissance dans ses murs. De toute façon, c’est une tendance lourde. Pas un jour ne se passe sans qu’un acteur - Cisco, Yahoo, Exalead - ne se mette au réseau social. Les entreprises finiront par mettre en place ces services, allégés ou non. Employeurs et employés doivent donc s’y impliquer, au moins dans un but pédagogique. Alors rendez-vous sur le groupe Atelier web de L’Atelier sur Facebook pour en discuter.

4 octobre 2007 | L’Atelier BNP Paribas
http://www.betapolitique.fr/Utilisation-des-reseaux-sociaux-01689.html

25 octobre 2007

Yves Saint-Laurent lance sa nouvelle fragrance sur Second Life

"elle", le nouveau parfum d'Yves Saint-Laurent, a été présentée à la presse hier 1er octobre depuis Second Life. Conçue par MPG, le lancement de cette nouvelle fragrance se poursuivra le 9 octobre par le vernissage sur une  île virtuelle créée à cet effet d'expositions de différents artistes de Second Life autour du produit. Le 16 octobre, jour d'ouverture de la Fiac, YSL lancera par ailleurs un concours invitant ces mêmes artistes à créer une œuvre inspirée de "elle" que les visiteurs de la Fiac pourront découvrir via des bornes d'accès installées au Grand Palais et dans la Cour Carrée du Louvre,  les deux sites qui accueillent la manifestation.

 

02/10/2007 - CBNEWS -  Tanguy Leclerc

http://www.cbnews.fr/articles/marque/yves-saint-laurent-lance-sa-nouvelle-fragrance-sur-second-life

25 octobre 2007

Sujet et problématique

Bonjour à tous,

 

Notre blog est un essai de Veille analytique sur un sujet d'actualité basé sur la problématique suivante:

 

Comment les entreprises utilisent les nouveaux réseaux sociaux pour communiquer avec les consommateurs?

 

Notre blog est réalisé dans le cadre du Cours "Culture informationnelle" du Master Communication de l'ISTC de Lille

 

sous la direction du Professeur Jean-Paul Pinte (http://www.veillepedagogique.blog.lemonde.fr)

 

Etudiants ayant réalisé la Veille :

 

Géraldine Delporte

Briac Guillas

Publicité
Les réseaux sociaux dans l'entreprise
Publicité
Archives
Publicité